lundi 2 octobre 2017

Dragon Ball : Xenoverse 2


Synopsis

   Un an après le premier opus, Dragon Ball Xenoverse revient dans un nouveau jeu qui revendique l'univers le plus détaillé de tous les jeux Dragon Ball. Le jeu reprend la recette du premier Dragon Ball Xenoverse avec des bases de MMORPG et le retour des policiers du temps qui doivent protéger l'histoire.
Trailer


 
Avis d'Ignus 2/10

   Nous faisons tant de critiques, tant d'avis sur ce blog qu'il m'est parfois difficile de savoir ce dont je parle ou non. Car non, il est évident que nous ne faisons pas une fiche sur TOUT ce qui nous passe sous la main (sinon nous ne ferions rien d'autre). De facto, impossible de me souvenir si j'ai déjà eu l'insigne honneur de vous parler du 1er Opus de Dragon Ball : Xenoverse.

   À l'époque, je me suis vu offrir le jeu sur Ps3 l'année de sa sortie (pour Noël ou mon anniversaire, je ne sais plus), et je dois avouer avoir été diablement emballé. On retrouvait un gameplay proche des Tenkaichi, de nombreuses options de personnalisation, un humour omniprésent et une large communauté (bien que souvent composée de kikoo) assez active pour toujours trouver un adversaire à sa mesure.

   En termes de scénario, le jeu nous proposait de nous plonger dans des époques altérées par des "maîtres du temps" qui tentaient ainsi de changer le cours de l'histoire. Une bonne occasion donc de reparcourir l'ensemble des saisons que nous connaissons déjà par cœur tout en découvrant de nouvelles choses et de nouveaux combat (comme le M. Satan le plus badass de tous les temps). C'était agréable et frais dans cet univers ultra codifié ou chaque micro-changement peut conduire au bûcher..



   Côté doublage pas de VF, mais une VO avec les voix originales fort appréciable, des musiques dans l'ambiance du manga... Bref que du bon !

   Au final le premier Xenoverse nous livrait un excellent jeu, peut-être même le meilleur de tous les jeux estampillé DB.

   Bon et maintenant passons à la critique de sa suite :

   C'est la même chose. C'est put*** d'exactement la même CHOSE ! Non mais sérieusement les gars, vous nous aviez déjà à l'époque totalement sodomisé à sec avec du gravier en nous pondant des copies carbones de jeux Yu-Gi-Oh!, mais jamais je n'aurais cru voir ça à notre époque et sur console next-gen !

   Merde quoi, à 70 boules le jeu il n'est pas NORMAL d'avoir une bouse de cette ampleur ! Vous savez les gars, si je veux un toucher rectal je vais voir mon toubib. Ça me coute 23€ et en plus c'est remboursé.

   Franchement je ne vois pas quoi dire d'autre... Le scénario est le même (exactement le même hein, faut pas déconner, avec la police du temps, les méchants qui manipulent, les ombres, bla bla bla) sinon qu'on nous ajoute après des HEURES à refaire le même bordel que dans le 1er une partie Super... Youpi. Sauf que quand on ajoute un peu de contenu optionnel à un jeu déjà existant, ÇA S'APPELLE UNE EXTENSION OU UN DLC ! Tu vends ça 20€ sur les shops en ligne, tu ponds une version GOTY l'année suivante et voilà. TU BAISES PAS LES GENS EN LEUR PROMETTANT UNE SUITE !

   Désolé, je suis en colère. Vraiment. Car comme tous le gosses des années 80, j'ai grandi avec Gohan et Trunks ! Et j'ai retrouvé une partie de mon âme d'enfant sur Xenoverse. Et là j'ai juste l'impression de sortir d'un entretien trop particulier avec M. le curé.

   Non faut pas rire. Je sais que les gars de Dimps (filiale de Namco Bandai) sont habitués à ça. C'est à eux que l'on doit entre autre les suites infinies de One Piece, Naruto, etc... Mais bon, à chaque fois quand même ils font l'effort de changer le scénar, de mettre de vraies amélioration, ou autre... Et puis je m'en fous de One Piece et de Naruto ! Putain entre Xenoverse 1 et 2 vous avez même fait Street Fighter 5, vous ne vous êtes pas dit à un moment "tiens, et si on respectait un peu nos joueurs"?

   Bon c'est bon, j'arrête. Flop de l'année, rage du gamer/geek frustré. J'espère qu'ils vont tous mourir dans des souffrances abjectes.


Avis de Mishakal Pas de note
 
   Je déteste l'univers de Dragon Ball, donc non merci.

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