Emma et ses amis, tous
orphelins, ont été placés dans un établissement spécialisé lorsqu'ils
étaient tout jeunes. Bien que leur liberté soit limitée et que les règles
soient parfois un peu strictes, ils mènent une vie agréable tous
ensemble et la femme qui s'occupe d'eux est généreuse. Cependant, une
question anime Emma et tous les autres : pourquoi n'ont-ils pas le droit de sortir de l'orphelinat ? À quoi sert le tatouage sur leur cou et tous les tests d'aptitude qu'ils passent ? Une terrible vérité éclate rapidement, mais comment fuir un tel lieu ?...
Avis de Farrel 3/10
Sans doute suis-je dur, mais il y a un moment où je dis "non". L'originalité ne fait pas tout. The Promised Neverland est un manga qui dispose d'un Lore très sympathique, d'un background riche et de bien des qualités, surtout au niveau de la mise en scène et du suspens... durant ses premiers chapitres.
Car non, clairement : non. Le manga est trop long. Il s'étire à l'infini (comme du beurre qu'on aurait étalé sur une tartine trop grande ?), usant de mauvais artifices pour rallonger totalement artificiellement sa longueur.
Et le pire dans tout ça ? La finalité, que l'on attend avec impatience (qui a dit "lassitude" ?) est... bâclée, mauvaise, d'une affreuse banalité. Une catastrophe, en somme, que j'ai abandonnée. Certainement dans mon flop de l'année.
Avis de Mishakal 7/10
Au bout de 90 Chapitres, j'abdique... Non, vraiment, c'est trop... Il y avait de bonnes idées, un scénario prometteur axé sur la survie d'enfants, relayés à la fonction de bétail pour des Démons qui s'en délectent. Une ferme d'élevage déguisée en orphelinat. Mais franchement... 35 Chapitres pour qu'ils quittent ce putain d'orphelinat... C'est looooong...!
Mais j'ai tenu bon. Je me suis dit, voyons ce qu'il y a derrière, l'aboutissement final. Toutes les créatures extérieures, la faune et la flore qui deviennent dangereuses, ok. Trouver la base souterraine de William Minerva, ok. Et ensuite ?
Bah... Emma se fait capturer dans le terrain de chasse dans lequel Shelter a perdu ses potes. Et ça dure, mais ça dure... Le combat contre Lewis tient tant de chapitres que je me serais crue dans DBZ...
Ouais, non... Ça m'a suffi. Et c'est dommage, parce que je me suis bouffée 20 chapitres en 2 jours. Il y avait l'ambiance, le suspens, le fond glauque... Norman qui m'a beaucoup plu, en brillant d'intelligence. Puis cette longueur de merde qui dégoûte du manga... Vraiment dommage... Je suis déçue. L'animé attendra.
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