La délivrance de l'accordéon – Loli Artésia
Pages : 76
Éditions : InSide Me
Genre : Poésie
Résumé
"Ô ciel très gris
Où s’affaissent des chimères,
Qu’en est-il des ennuis
Cachés sous les vers ?"
Recueil de 36 poèmes (dont un en italien), divisés en trois parties (Diatonique, Chromatique, Enharmonique), La délivrance de l’accordéon vous plonge dans les ombres de l’âme humaine, de l’ivresse à la déréliction.
L'accordéon, c'est l'être humain et sa complexité, ses pensées contradictoires, ses passés qui le hantent, ses espoirs, ses errances, comme autant de notes de musique plus ou moins justes.
L'accordéon, c'est aussi le poète ; et sa délivrance, peut-être l'écriture.
Où s’affaissent des chimères,
Qu’en est-il des ennuis
Cachés sous les vers ?"
Recueil de 36 poèmes (dont un en italien), divisés en trois parties (Diatonique, Chromatique, Enharmonique), La délivrance de l’accordéon vous plonge dans les ombres de l’âme humaine, de l’ivresse à la déréliction.
L'accordéon, c'est l'être humain et sa complexité, ses pensées contradictoires, ses passés qui le hantent, ses espoirs, ses errances, comme autant de notes de musique plus ou moins justes.
L'accordéon, c'est aussi le poète ; et sa délivrance, peut-être l'écriture.
Avis de Farrel Pas de note
Avis de Mishakal 7/10
Je ne suis pas friand de poésie.
Avis de Mishakal 7/10
Loli montre une autre facette d'elle-même dans ces poèmes à la plume délicate, tantôt alcoolisée, tantôt voyageuse, toujours égarée dans un firmament d'émois.
Je lis peu de poèmes et en écris fort rarement. Mais il n'en demeure pas moins que c'est un genre qui embrasse les mots. Peu savent transcrire une symphonie, décrire une histoire, sur une musique douce à l'oreille.
J'ai lu ce recueil très rapidement, des images dans la tête et un goût d'étoiles sur les lèvres.
Mes vers préférés :
Consentement
"Les ombres de tes yeux font de moi ta captive",
Répétait-elle avec indolence entre mes mains.
Fermant les paupières, elle cambrait ses reins,
Ses reins d'or et d'argent dans la nuit maladive.
À la sortie d'une nuit d'émoi, de salive,
Elle se tournait vers moi sans couvrir ses seins,
Confiante, tandis que je baisais ses yeux pleins
De lueurs et de larmes, dans mes bras passive.
Ô femme craignant la passion, douce hirondelle,
Dans mes bras captive, la passion te rend belle.
J'aime quand tes yeux se baissent sur mon corps nu."
Certains vers sont plus maladroits, je les mets sur le compte de leur antériorité (2008), et attends le prochain recueil avec une certaine impatience, gageant que Loli peindra moult décors du bout des doigts, avec ses aquarelles et sa poésie.
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